« T’es bonne toi », « t’as un numéro ? », « réponds-moi quand je te parle »… Les phrases dérangeantes, les regards insistants, les gestes déplacés font presque partie du paysage quotidien des Bisontines, surtout avec l’arrivée des beaux jours. Dans l’espace public, elles ne peuvent se sentir en totale sérénité. Autant d’humiliations qui les conduisent à adopter des stratégies d’évitement. « M’habiller comme je veux,…